Laule

Dans la catégorie: Humeur,Monte le son — kwyxz le 21/05/06 à 21:48

Les bonnes occasions de se marrer se faisant rares ces temps-ci, commençons par ce mail reçu aujourd’hui:

From: master love
Subject: URGENT
To: masteramour1@yahoo.fr

bonjour
tout d’abord je tient à m’exuser du fais que je viens à vous je me nomme valery, le but de mon courrier est que: j’ai 186 jeunes filles interressés à faire des tournages de porno qui aiment ce metier qui revent de se faire baiser quand on les fumes contactez moi si vous etes interresses je vous informe que c’est la cote divoire et que ces jeunes filles ne sont pas des amatrices car nous avons faire une experience en hotel raison pour laquel je veut les fais connaitre mondialement svp donnez moi un coup de main pour faire evoluer le porno en cote d’ivoire et le monde entier merci de votre comprehension

Maintenant, parlons un peu d’un concours dont en général tout le monde se fout tellement il est synonyme d’ennui: je parle bien entendu de l’Eurovision. Mais ne perdons pas de temps, je vous laisse savourer l’impartialité des commentateurs français, Michel Drucker et Claudy Siar.
Drucker: “Ils seront au zoo de Vincennes prochaînement”, Siar: “La Finlande n’a jamais gagné, c’est pas avec ça qu’ils gagneront.”
J’aimerais bien savoir ce que nos duettistes ont dit de la chanson écrite par Corneille interprètée par notre illustre inconnue supposée nous faire remporter l’Eurovision. Ah ça, Corneille c’est sûr que c’est consensuel, ça fait pas de taches, c’est de la bonne soupe comme on en voit régulièrement à la télé française. Non parce que la France qui finit 22ème sur 24 avec seulement 5 points quand les finlandais en question sont 1ers avec 292 points, c’est quand même un peu la honte, hein ? Merci Michou, merci Claudy, ne changez rien, vous êtes bien français. Incroyable, Dave et Fogiel me manquent.

Da Vinci Con, the official movie of the novel

Dans la catégorie: Mind food — kwyxz le 17/05/06 à 14:09

Peter Fondu, le spécialiste cinéma de Oui FM, a vu le film Da Vinci Code. Morceau choisi: « Je n’avais pas lu le roman de Dan Brown, on est plus beaucoup mais il y en a quand même, mais si le livre est aussi monumentalement con que ce qu’on a vu hier soir, y’a aucun regret à avoir ! »

Eh bien je suis en mesure de te le confirmer, Peter. Y’a aucun, mais alors aucun regret à avoir.

Edit: le film s’est fait crucifier lors du gala d’ouverture. Du jamais vu.

Comic Life c’est comique…

Dans la catégorie: Geekeries — kwyxz le 17/05/06 à 2:51

…mais purée qu’est-ce que ça rame sa mère !

Faîtes ce que je dis…

Dans la catégorie: Pol fiction — kwyxz le 14/05/06 à 14:29

A un moment où l’agitation le dispute à la raison, je veux rappeler quelques principes.

La République, ce n’est pas la dictature de la rumeur, la dictature de la calomnie. La République, c’est la loi.
La justice est saisie. Elle doit faire son travail : établir les faits, tous les faits et dire le droit. Je souhaite qu’elle le fasse dans la sérénité et le plus rapidement possible.

La démocratie, ce n’est pas l’irrespect et l’exploitation jusqu’à l’outrage de procédures judiciaires en cours, au risque de faire le lit des extrémismes et de désespérer les Français de la politique.

Et c’est un type qui ne s’est jamais présenté devant les juges qui le dit.

By the way

Dans la catégorie: Geekeries — kwyxz le 10/05/06 à 2:36

Say hello to Brian.

Just have a little faith

Dans la catégorie: Watching TV — kwyxz le 5/05/06 à 3:44

Lincoln Burrows est accusé du meurtre de Terrence Steadman et condamné à mort après une enquête laissant peu de place au doute quant à sa culpabilité. Michael Scofield, le frère de Lincoln, est persuadé de son innocence et braque une banque pour se faire enfermer dans le même pénitencier. Son objectif ? Leur évasion.

Deux prisonniers cherchant à retrouver la liberté, un schéma déjà bien connu dans le monde du cinéma. Mais les prisons modernes ne sont plus les passoires que pouvaient être l’Alcatraz des années 30 ou le pénitencier de Shawshank, et l’ingéniosité de Michael est ici rudement mise à l’épreuve.

Son plan, exposé épisode après épisode, est aussi millimétré que théoriquement infaillible, et c’est avec un plaisir jubilatoire que l’on observe comment une évasion supposée parfaite peut très rapidement tourner à la catastrophe. Chaque semaine, les scénaristes redoublent de créativité pour repousser plus loin, encore un peu, les limites de l’imagination de Michael et celles de la patience du spectateur, haletant, au bord de la crise de nerfs lors du cliffhanger de fin d’épisode.

Prison Break est en passe de devenir une nouvelle référence en matière de thriller. Il serait plus que criminel de passer à côté. Vous voilà prévenus.