Fiertitude

Dans la catégorie: Geekeries,Humeur — kwyxz le 22/09/10 à 14:44

Amie: tu sais, t’es chiant
Moi: parce que ?
Amie: à cause de toi je veux faire un clip de nos vacances
Amie: et acheter une mini caméra

CGU critiques

Dans la catégorie: Geekeries,Humeur — kwyxz le 22/09/10 à 14:36

Y’a un truc qui me chiffone avec les CGU de Sens Critique que tout Beta testeur a été invité ce jour à accepter. Je me doute que ces termes doivent être trouvables dans toutes les CGU des réseaux sociaux existants, Facebook en tête, mais puisque je me sens un peu plus proche des créateurs de SC (et que j’avoue n’avoir jamais pris le temps de lire en détail les CGU, interminables et imbitables, de Facebook) c’est sur celles-ci que je réagis:

De même, les Publications étant effectuées sous la responsabilité exclusive du Membre, celui-ci garantit la Société contre toute demande, réclamation, recours et/ou condamnation dont le Site pourrait être menacé ou qui pourrait être prononcé contre la Société, en ce compris tous frais et honoraires d’avocats.

4/ Propriété intellectuelle

Le membre concède au Site une licence gratuite, non exclusive et sous-licenciable quant à l’utilisation, la modification, l’affichage public, la reproduction et la distribution sur le site et sur tous médias des publications qu’il effectue sur le site. Cette licence prend fin au moment où le membre supprime son contenu du site.

Donc d’un côté on reconnaît avoir la responsabilité exclusive des publications en cas de litige, le site se couvre totalement en laissant l’auteur seul responsable de ses propos. Ça ne me dérangerait pas si en même temps le site n’avait pas tout loisir de modifier, afficher, reproduire et distribuer les publications en question. S’il y a modification de mes écrits je vois mal comment je pourrais continuer à en endosser la responsabilité.

Je n’ai pas encore cliqué sur Oui à la question « Acceptez-vous les conditions générales d’utilisations du site ? », du coup.

My 2 cts.

Last night

Dans la catégorie: Humeur — kwyxz le 9/09/10 à 9:09

Je suis de nouveau à Angers, mais plus étudiant, j’y travaille maintenant. Nous sommes sur le boulevard du Roi René avec… un mélange hétéroclite de collègues de travail et de gens de la Unrelated. Notre groupe compte environ une dizaine de personnes en ce début de soirée et nous nous installons en terrasse d’une pizzeria où nous semblons avoir nos habitudes mais le serveur nous ignore complètement. Au bout de plus de quarante minutes certains reviennent de la cuisine avec leur plat, qu’ils sont allés commander directement à l’intérieur.

Nous sommes quatre ou cinq à ne pas avoir été servis et décidons de partir dans un autre établissement vers le boulevard Besonneau mais allez savoir comment nous nous perdons et arrivons dans une sorte de clairière en hauteur, c’est une impasse et nous sommes bloqués par une ligne de chemin de fer, de l’autre côté on voit clairement notre destination, il nous faut revenir sur nos pas pour contourner cet obstacle, mais devant nous il y a une carcasse de voiture, c’est une vieille Peugeot 305 blanche, le frein à main n’est pas serré, je pousse la voiture pour la déplacer un peu, et là je vois deux chaussures comme des DrMartens hautes mais quelque chose est louche, ces deux chaussures sont couchées l’une à côté de l’autre et pas posées par terre.

Poussé par une sorte d’instinct bizarre, je jette un oeil à l’intérieur des chaussures et je découvre qu’il y a deux pieds dedans. Les jambes ont été sciées, au milieu des tibias. Alors que je fais cette découverte morbide j’entends comme un bruissement dans les fourrés sur ma droite, et une voix sortie de nulle part murmure quelque chose d’incompréhensible à mon oreille, je regarde dans la direction de ce chuchotement, la voix répète ce qu’elle a dit mais je ne la comprends toujours pas, et alors que je tends l’oreille mon radio-réveil se met à hurler.

Je suis un peu perturbé ce matin, du coup.