99 ways to die
Non, je ne veux pas parler de Megadeth, mais plutôt de cet intéressant manuel à lire au moins au 42ème degré.
Non, je ne veux pas parler de Megadeth, mais plutôt de cet intéressant manuel à lire au moins au 42ème degré.
Tout d’abord, je présente mes plus sincères excuses à diverses personnes pour mon moral de samedi soir qui tomba vers 23h30, il faut bien se rendre à l’évidence, à un niveau proche du QI d’un Bataille ou d’un Fontaine donc non loin du zéro absolu. Excuses donc à Flaoua, Eglantine, Dek\ (malgré tous ses efforts pour me dérider, si si, il est vraiment drôle quand il est bourré – j’ajoute qu’on n’a pas cherché la voiture de Joshua 20 minutes mais environ 5 minutes, mais bon, vu l’état dans lequel il était je comprends que son appréciation du temps ait pu être quelque peu faussée), Joshua donc, PatrikRoy (promis la prochaine fois je regarde tes camshots avant de me pointer, même si ça ne sert plus à grand-chose maintenant finalement), Kobal2, Josao, Kalou et Maia. Promis juré, je commence une thérapie à base de blagues de Télé Z à partir de demain.
Après un difficile lever dimanche vers 14h30 du matin, j’allai d’un pas alerte (et relativement requinqué) acheter ma place pour le stuff du moment, à savoir Matrix Reloaded. Si le premier ne m’avait pas définitivement convaincu, j’en espèrais pas mal du second à l’écoute des critiques positives de mon entourage. Ce fut donc la déception du dimanche soir. Heureusement, le visionnage de Final Flight Of The Osiris quelques secondes plus tard m’a agréablement permis de finir cette soirée (et puis bon, j’ai aussi méchamment puni David à Soul Calibur 2, et ça personne n’en parle).
Et c’est donc dans la joie que je mets une conclusion à ce post guenille-like, mon premier, dans lequel je raconte ma vie dont tout le monde se fout. Merci de votre attention.
Lis très attentivement ce message, ne l’efface pas, c’est très important. Ce test ne te prendra que quelques minutes et pourra influer sur le reste de ta vie. Munis-toi d’un papier au format A4 et d’un crayon.
1. Tout d’abord, écris ton nom tout en haut du papier
2. Ensuite, écris en bas du papier le nom d’une personne que tu aimes
3. Ensuite, fais un cercle au milieu du papier
4. Dessine un trait vertical qui va de ton nom à celui de la personne que tu aimes
5. De chaque côté du cercle maintenant séparé en deux par le trait vertical, écris le titre de ton film préfèré et en face celui que la personne que tu aimes préfère
Maintenant, calcule :
Le nombre de lettres communes entre chaque titre de film
La circonférence du cercle que tu as tracé
Multiplie ces deux valeurs
Tu obtiendras un indice d’amour. Multiplie cet indice d’amour par 10, et tu obtiendras le nombre de personnes à qui il faut que tu envoies ce message pour que la personne que tu aimes t’aime en retour. Ça n’est pas une question de volonté de sa part ou de choix personnel, c’est garanti, si tu renvoies ce mail de merde elle va tomber amoureuse de toi c’est obligé, donc fais chier tous les gens que tu connais en leur envoyant ces conneries en triple, en quadruple exemplaire. Après tout, ils n’ont que ça à foutre, faire des dessins à la con sur une feuille de papier, c’est pas comme s’ils avaient une vraie vie avec des vrais gens qui leur écrivent.
Ce qui va suivre est un message amicalement adressé à Jessica Fynch, Warren Dougherty et Melissa Ryan (ainsi que leurs collègues) : je n’ai besoin ni d’une assurance-vie, ni de Viagra, ni de me faire agrandir le pénis. J’estime, vu le nombre de messages que je reçois actuellement en ce sens, qu’il me fallait être clair. Merci de votre attention.
Deux jours de week-end. Une journée chez un client. Deux jours de grève. Enfin, deux jours à subir la grève de la SNCF et de la RATP et à ne pas pouvoir aller au boulot. Cinq jours sans le net.
Bizarrement, j’ai survécu.
Dingue, ça.
Parfois, vous êtes amené à prendre des décisions totalement contraires à votre volonté. Tellement contraires que vous en arrivez à vous détester de devoir les prendre.
Parfois, ces décisions que vous prenez sont si lourdes de conséquences que tout le reste semble alors d’une déconcertante futilité. Vous vous dîtes que vous allez le regretter toute votre vie, mais vous n’avez pas le choix.
Parfois, vous aimeriez pouvoir vous enterrer vous-même à l’aide d’une pelle au fond d’un trou sombre et soigneusement reboucher le tout.
Parfois, c’est aujourd’hui.