I need coins to rescue the princess

Dans la catégorie: Misc — kwyxz le 15/01/09 à 11:45

10h22 arrivée du plombier (1h20 en retard, tranquille Émile)
10h24 détermination du problème
10h26 correction du problème
10h34 établissement de la facture
10h36 récupération du chèque et départ du plombier

14 minutes de boulot, 79 Euros. Ma petite entreprise ne connaît pas la crise.

Vrais ou faux ?

Dans la catégorie: Misc — kwyxz le 13/01/09 à 23:44

Bien le bonsoir. Mes chers lecteurs, j’ai besoin de votre oeil avisé d’experts.

Oui oui ne vous cachez pas là, c’est bon, on est entre nous, pas la peine de se cacher les gigaoctets de films produits par Marc Dorcel qui traînent sur votre disque dur. On ne me la fait pas, on ne vous la fait pas.

Car je viens de trébucher sur un cliché me laissant dans l’absolue perplexité. La personne y figurant jure ses grands dieux qu’il ne s’y trouve que du 100% naturel, mais j’avoue avoir peine à y croire.

Alors je vous le demande, donnez moi votre avis. Les melons, là, ils sont vrais ou faux ? Cliquez pour agrandir, oh oh oh que c’est à propos !

Elles sont belles mes pastèques, elles sont belles !

Merci de votre participation.

Le complexe de l’anonyme

Dans la catégorie: Geekeries,Humeur,Misc — kwyxz le 3/10/08 à 14:22

Depuis la parution du numéro 49 de Chronic’Art certains remous agitent, non pas la “blogosphère” puisque ce terme est probablement l’une des plus vastes fumisteries de ces dernières années, mais tout du moins les égos d’un certain nombre de blogueurs.

Alors évidemment, ce qui fait le plus parler, surtout depuis la diffusion sur Flickr de l’objet du délit c’est le Worst Of. Ce qui est bien malheureux puisque ces quelques misérables lignes (brocardant, pour faire exhaustif, un podcasteur réputé marrant, une testeuse de produits de beauté estampillée “blog féminin”, un jeune néoblogueur nomprénom.fr et une ministre que le ridicule ne tuera pas) ne représentent pas un dixième du dossier.

Certains veulent y voir une énième tentative d’opposition entre blogueurs et journalistes, mais ils n’ont à mon avis pas lu le dossier publié dans Chronic’Art tant ils tapent à côté de la plaque. Même si ce débat est légitime, il n’en est pas question ici. Le dossier pose une problématique intéressante opposant le média lui-même (le blog, en tant qu’espace d’expression) et ceux qui, désirant faire main basse dessus (presse, publicitaires, communicants), sont à l’origine d’une uniformisation sans intérêt des contenus, sans parler des fameux et mirifiques “posts sponsorisés” qui sont au blog ce que TF1 est à la culture.

Le phénomène du blog ne date pas d’hier, pourtant il n’a jamais été aussi communautarisé que de nos jours. Les “blogs de geeks”. Les “blogs de filles”. Des cases bien pratiques pour que l’annonceur X ou Y sache qui inviter pour des soirées branchées. Des cases qui, pourtant, n’auraient jamais eu lieu d’être à l’époque où le blog était un lieu de création, où l’on pouvait tout aussi bien discuter du dernier film sorti que d’une marque de gateaux, ou tout le monde se foutait de sa supposée “influence” puisque le terme n’était pas encore livré en standard avec la célébrité 2.0. Une classification qui, à mon sens, a amplifié le phénomène du “blog clone” et multiplié les tentatives désespérées de Joe Schmoe de sortir de son trop vulgaire anonymat.

Combien de “blogs geeks” recensés sur la toile francophone ? Combien d’articles tous identiques vantant les mérites du dernier SmartPhone ou du dernier PDA, quand ceux-ci ne sont pas carrément des posts de commande rémunérés par le constructeur ? Pourquoi les étiquettés “blogs de fille” sont-ils d’un niveau consternant rempli de pouffiasseries à peine dignes d’une collégienne ? De la créativité, que Diable ! De la personnalité ! De l’audace ! Coller aux critères austères et étriqués des média classiques, c’est le meilleur moyen de flinguer ce qui représentait jusqu’à il y a peu un formidable espace de liberté et de créativité. Pourquoi aller dans le même sens que la marée ? Pourquoi vouloir être “recommandé par des Influenceurs” ? La célébrité, les invitations aux soirées, ce sont des effets de bord pas désagréables certes, mais qui ne doivent pas constituer un but. Je suis un anonyme et je le vis bien. Pourquoi chercher à tout prix la reconnaissance de ceux que l’on voudrait comme pairs en écrivant la même chose qu’eux ? Il n’y a rien à gagner à singer la presse spécialisée, surtout en foutant au pilon des règles aussi élémentaires qu’un affichage clair et immédiat d’une publi-information.

Aussi lorsque, confortablement installée dans sa case d’élue meilleur blog de la catégorie mode-beauté par aufeminin.com, festival de Romans 2008, une apprentie-journaliste s’enhardit de pouvoir donner des leçons de déontologie à deux blogueuses alors que l’étron qui lui sert de blog ressemble à un catalogue de la Redoute, je me gausse. Certains font des écoles de journalisme pour aller en baver pendant des mois à couvrir une guerre civile en Angola, d’autres font des écoles de journalisme pour s’étaler gratuitement du Mascara sur la gueule. C’est pathétique.

Edit: puisque l’auteur du blog dont je parle dans le paragraphe ci-dessus s’est manifestée dans les commentaires, je profite de l’occasion pour exhiber ce chef-d’oeuvre qui est un parfait exemple d’à peu près tout ce qu’on peut faire de pire et qui représente parfaitement ce sur quoi l’article Chronic’Art et moi même avons choisi de copieusement vomir. Tout y est, ainsi que la petite mention qui va bien, évidemment en fin de post une fois que le lecteur égaré s’est farci la pub déguisée. Merci de votre attention.

Rétrospectivement

Dans la catégorie: Misc — kwyxz le 30/09/08 à 8:45

J’habitais une ancienne écurie réaménagée, je sautais joyeusement du premier étage dans un tas de sable situé sous ma fenêtre et je jouais dans l’herbe avec mes GI Joe devant le centre gériatrique d’où se jetaient les suicidaires. Le mercredi c’était piscine devant la caméra, puis visionnage inversé et éclats de rire, mais à cette époque je n’étais pas très doué pour la sieste. Le blockhaus était notre terrain de jeux, et plus jamais je ne dormirai dans un refuge au milieu des Alpes. Quand nous apprenions les échecs nos parents avaient peur pour notre avenir, mais nous non, de toute façon nous ignorions de quoi demain serait fait.

Je descendais le boulevard et sautais le mur pour entrer plus vite au collège, batterie ou tennis, le choix fut douloureux mais le solfège me poussa assez rapidement vers le sport, de toute façon c’était l’un ou l’autre et des cours de musique nous en avions après être passés par le trou dans le grillage. Au retour, les quelques piécettes glanées ça et là faisaient notre bonheur et celui de l’exploitant de la salle de jeux, bien sûr nous pouvions aussi jouer chez nous et ne nous en privions pas, mais ça n’était quand même pas pareil. Quand je partis nous pensions rester toujours en contact et nous écrire régulièrement, nous y sommes parvenus pendant quelques années tout de même, mais nous ignorions de quoi demain serait fait.

Courir pour prendre le bus, ne pas courir dans les couloirs, regarder son assiette sans y toucher parce que, quand même, ça a l’air bien dégueu la bouffe de la cantine, surveiller les cartables pour pouvoir glander au chaud, lire des dizaines de magazines de jeux vidéo et se dire qu’un jour on sera testeur, parce que c’est quand même un boulot de rêve, dessiner, beaucoup, sur des feuilles volantes, dans les marges des cahiers, sur les tables, sur les enveloppes, et la musique, peut-être, mais c’est quand même plus facile d’en écouter que d’en jouer. Premiers cours d’éducation sexuelle, on en rigole mais quelque part ça commence à titiller. Coller une droite à un type pour devenir son ami, mais laisser de côté les crans d’arrêt et les pistolets à grenaille, de toute façon nous ignorions de quoi demain serait fait.

En pédalant comme un malade on constate que le vent souffle toujours dans la mauvaise direction. Finalement nos occupations n’avaient pas beaucoup évolué, le Bac semblait loin et les études n’étaient qu’une vague oasis éloignée dans le désert. Évidemment l’alcool et la drogue ont fait irruption dans ce beau paysage mais de toute façon pas pour le pire puisque le permis de conduire n’était encore qu’un projet. Thierry aura changé mon regard sur l’enseignement. Dès lors, on roule aggressif et on essaye de ne pas se casser un bras, de toute façon nous ignorions de quoi demain serait fait.

C’est quand on a l’impression de ne pas vivre pendant deux ans que l’on se rend compte à quel point le temps passe vite, et à quel point il est important de profiter de chaque instant. Alors les deux années suivantes, tu parles, du bonheur en tube, évidemment on est des branleurs, mais quand il faut s’y mettre on s’y met, et si le jury ne veut pas le comprendre on s’en fout. Hors-sujet tu dis ? Pas mon problème, de toute façon je suis déjà parti, et même si j’ignore toujours de quoi demain sera fait, je commence à voir quelque chose se profiler.

Young folks

Dans la catégorie: Misc — kwyxz le 14/09/08 à 22:59

Ils sont jeunes et bigarrés

Les mariés du 12

Dans la catégorie: Misc — kwyxz le 14/07/08 à 1:48

Okay, il a plu, et le soleil nous a fait faux bond. Mais c’était quand même une très belle cérémonie et une très agréable soirée. Alors je vous l’ai déjà dit mais je vais le redire, tous mes voeux de bonheur vous accompagnent, parce que vous êtes des gens que je suis très heureux de connaître. Vraiment. De tout coeur, merci.

J’aime pas le foot

Dans la catégorie: Misc — kwyxz le 3/05/08 à 16:43

Mais quand même, quand Guy Ritchie réalise un spot comme ça pour Nike, j’applaudis. Et sur Eagles of Death Metal en plus, si c’est pas la classe.


(Vidéo piquée chez Fubiz, merci à eux, la version YouTube étant vraiment trop moche)

Cute overload

Dans la catégorie: Misc — kwyxz le 19/04/08 à 15:18

I haz mai first kiss

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